Je me perds dans les feuilles du programme…

Je me perds dans les feuilles du programme, feuilletant et fouillant dans ces catégories imprécises aux diverses couleurs. Je fouille, je note ce qui a l’air intéressant et je dois faire des choix. Qu’est-ce que je choisis entre ceci et cela? En allant dans ces salles obscures, il m’arrive d’être captivé, stressé, déçu, énervé et parfois je m’ennuie. Les résumés permettent de faire des choix mais parfois leur manque de précision nous font prendre les mauvais, ceci couplé au manque de précision des catégories, j’en ressors déçu. Peut-être faudrait-il créer des sous-catégories qui aideraient à voir sur quel aspect se focalisera le documentaire, comme par exemple histoire, social, politique et nature, je ne sais pas. Je passe du coq à l’âne, une fois je suis totalement embarqué dans l’histoire d’un héros qui désamorce des bombes et une autre fois je suis devant une espèce de publicité, en fait un hommage à un membre d’un groupe extravagant dont le montage est insupportable lors des interviews. Il y avait tellement de coupures au milieu des phrases et donc dans l’image qu’on se demandait si le monteur n’était pas celui de Tibo Inshape sur Youtube. Bon ce n’est pas grave, d’autres documentaires m’ont emporté comme The human factor et Honeyland. Parfois le film était un peu trop long malgré l’exploit qu’il racontait et il arrivait aussi qu’il survole un sujet qui avait un gros potentiel. C’est tous les risques du documentaire. Le Fipadoc n’a eu lieu que deux fois. J’espère qu’il s’améliorera, mais pour l’instant je garde précieusement le catalogue de cette année pour pouvoir voir ce que j’ai malheureusement manqué.

Lucas Flaszenski-Burie.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *