Le Fipadoc

vu par Guillem Barientos.
Dans les grandes lignes, ce n’est qu’un festival de documentaires.
Avec des tonnes et des tonnes de documentaires.
On se noie dans un flux d’informations, tellement de possibilités, de réalisateurs à rencontrer, on s’y perd et on ne sait plus où donner de la tête.
On se perd dans le fait de s’obliger à avoir l’expérience la plus productrice et la plus intéressante tout au long de cette semaine de festival.
À cause de ce surplus d’informations, les documentaires en deviennent presque insignifiants.
Cependant, lorsque « l’expérience FIPA » nous frappe, on en oublie toute ces possibilités qui nous étouffent.
Nous ouvrons les yeux et ouvrons le coeur aux expériences que nous vivons.
Il n’y a pas de surplus d’informations, seulement une étendue vaste d’expériences à vivre.
L’expérience FIPA c’est être touché par ces documentaires voulant nous montrer une nouvelle vision de notre planète.
L’expérience FIPA c’est aussi rencontrer, discuter, échanger avec des réalisateurs sur leurs envies de transmettre et ce qu’ils nous ont transmis.
Voilà ce qu’est le FIPADOC, un surplus d’expériences à vivre.
Des expériences positives comme négatives.
Ces expériences qui nous touchent pourront nous changer, ou bien juste être passagères.
Mais ce qui est sûr est que ces expériences sont là avec nous afin de vivre l’expérience FIPA.

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