Plateau radio du vendredi 26 janvier

La dernière de nos émissions, dans son intégralité

et par plages

Interview de Manon Loizeau pour Silent war, son bouleversant documentaire sur le viol comme arme de guerre en Syrie (Lucas Izard) et réaction au film (Noélie Mériau).

Présentation du Smart Fipa, de la VR et de Cosmic sleep (Kenny Lucas et Pauline Racz).

Présentation du documentaire de Karna Sigurðardóttir690 Vofpanfjurdur, portrait doux-amer d’un petit village islandais menacé par l’exode rural (Martin Lagnier).

Rencontre avec un jeune réalisateur : Patxi Arsa, ancien étudiant en montage au BTS, et de son court-métrage Shadows (Fanny Caumont et Charline Carbain).

Hansa Studio by the Wall vu par…

Ce film est un excellent parti-pris entre l’histoire de Berlin dans les années 80 et la musique folle de ces années-là. En effet Hansa Studio by the Wall nous offre le point de vue original des musiciens de Berlin Ouest où la liberté musicale règne. Cette liberté n’est en fait qu’une liberté voilée et idéalisée car Berlin Est vit dans la misère.
Les Hansas studios de Berlin Ouest font un succès par l’originalité de leurs lieux, en particulier celui niché tout contre le mur : c’est ce qui attire David Bowie, Iggy Pop, Dépeche Mode, U2 et beaucoup d’autres qui enregistrerons les célèbres tubes Heroes ou Lust for life. De nombreux clips sont alors tournés près du mur ce qui peut sembler quelque peu étrange aujourd’hui.
La musique est l’élément-clef du film, et elle ne l’illustre pas mais lui donner un sens ; en effet lorsque Hansa Studio connaît le succès (au début et milieu du film) la musique monte en crescendo dans le rythme et les tons.
En 1989, la chute du mur de Berlin entraîne la réunification de Berlin Ouest et Est mais de nombreuses personnes sont contre, et agissent de façon égoïste et nombriliste car elles pensaient être libres. C’est alors que les Hansas Studio ferment peu à peu et connaissent leur chute. A ce moment-là que la musique change et semble être mélancolique.
L’aspect original du film est le point de vue risqué que nous offre le réalisateur : la parole aux berlinois de Berlin Ouest.

Fanny Caumont.

Plateau radio : édition du mercredi

La première de nos trois émissions sur ce qui se passe au FIPA. Avec échanges, débats, reportages et invités.

Par plages

Tantale, discussion critique avec Antoine Berland, Antoine Boudou, Pauline Racz, Noélie Mériau

Sujet de Pauline André et Inès Benkhelifa : 30 ans de souvenirs

Julien Bacquart accueille le BTS audiovisuel de Toulouse : Aliénor, Quentin, Clément, pour leur composition musicale et Tristan et Maxime pour la présentation du Blog de leur BTS

Micro-couloir avec Inès : Julien, scénariste en formation au Conservatoire national d’écriture audiovisuelle

Noémie Maillard accueille Bérénice Sevestre (promotion 2011-2013, montage), en master 2 documentaire Image et Société à Evry

Le FIPA, c’est parti ! Et le blog aussi.

30e-fipa

Pour cette 30ème édition du FIPA, les étudiants du BTS Audiovisuel de Bayonne-Biarritz mettent en ligne leurs avis, leurs critiques, leurs instantanés, leurs coups de gueule, leurs coups de coeur, et aussi les travaux sons et vidéos qu’ils réalisent sur et autour de cet évènement.

Bon FIPA à toutes et à tous !