De belles histoires pour de belles réflexions

Venus d’ici et d’ailleurs, les spectateurs emplissent les salles de projection de regards attentifs, parfois de rires, parfois de larmes, très souvent d’émotions et toujours d’applaudissements reconnaissants du spectacle qui leur est offert.

Sous nos yeux, le documentaire prend toutes les formes possibles. Les images défilent sur grands écrans et nous plongent dans les univers des réalisateurs, tous aussi différents les uns que les autres, dévoilant de nombreux récits.

C’est à travers le court-métrage The inner film et assis au fond de notre siège que nous sommes transportés dans la tête du pianiste suisse Francesco Piemontesi, talentueux musicien dont les mains ont fait leur première rencontre avec un piano à l’âge de quatre ans.

Hurler sur les murs, c’est l’éprouvant combat qu’ont décidé de mener des femmes victimes d’actes qu’elles ne devraient même pas avoir à imaginer, craindre ou subir.

La touchante histoire d’un homme qui accompagne sa mère atteinte d’Alzheimer et ce jusqu’à ce qu’elle réalise son rêve, danser le flamenco sur scène. En mis zapatos, un film guidé par le souhait de mettre en lumière la vérité sur la vie difficile que mènent les accompagnateurs.

The Balcony Movie, merveilleusement bien résumé dans cette expression utilisée par le réalisateur en personne, Pawel Lozinski déclarant que c’est « le fleuve de vie », les conceptions de l’existence à travers pas moins de 600 passants.

« Le silence fait apparaître tout ce qui ne parle pas. », citation illustrant toute la beauté et la douceur du long-métrage L’Homme qui peint des gouttes d’eau.

Pour moi, le Fipadoc c’est autant d’histoires que de moments inoubliables.

Méline Héron.

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